Algérie-RDC : “hé Riyad !”… Réunis devant l’hôtel des Fennecs, des supporters congolais lancent le 8e de finale de la CAN

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Algérie-RDC : “hé Riyad !”… Réunis devant l’hôtel des Fennecs, des supporters congolais lancent le 8e de finale de la CAN
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Juste après avoir eu confirmation que leur équipe, victorieuse 3-0 du Botswana, fera face à l’Algérie en 8es de finale de la CAN 2025, des supporters de la RD Congo ont lancé ce choc en se rassemblant devant l’hôtel des Fennecs, mardi soir à Rabat au Maroc.

Pour la plupart des supporters de la RD Congo, l’heure était à la fête mardi soir après la victoire face au Botswana (3-0) et ce même si la qualification était déjà entérinée depuis la veille. D’autres fans des Léopards ont en revanche préféré se projeter déjà sur la suite et sur le 8e de finale de la CAN contre l’Algérie, prévu le 6 janvier.

Dans le but de déstabiliser leurs adversaires, une poignée de ces suiveurs s’est ainsi rassemblée en face de l’hôtel Marriott de Rabat, QG de la sélection algérienne depuis le début de cette CAN, dans le but d’apostropher le capitaine des Fennecs, Riyad Mahrez.

Des fans de la RDC interpellent Riyad Mahrez

“Hé Riyad, viens, viens, viens ! On a pris ton flow ! On n’a pas peur de toi (…) S’il dort ici, on va le réveiller !“, ont notamment lancé les supporters, vêtus d’un maillot floqué “pas peur“. On ne sait pas si l’ailier d’Al-Ahli a entendu ce remue-ménage, effectué depuis le trottoir d’en face, mais cette scène traduit toute l’attente qui entoure ce choc entre l’Algérie et la RDC en 8es de finale de la CAN 2025.

Lors de leurs confrontations les plus récentes, les deux sélections restent sur trois matchs nuls en amical, la dernière fois en 2019. A la CAN, ils se sont affrontés à deux reprises, à chaque fois en phase de groupes. Avec à la clé une victoire algérienne 1-0 au… Maroc en 1988, puis un match nul 0-0 en 2000 au Ghana. Mardi, il faudra bien un vainqueur…

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Lantheaume Romain

Je suis tombé amoureux du foot africain avec Didier Drogba, puis j’ai découvert Afrik-Foot en 2013. Depuis, nous ne nous sommes plus lâchés !

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