A chaque Mondial, son lot de nouveautés. Après les vuvuzelas d’Afrique du Sud ou encore Footix, la mascotte de France 98, découvrez les trois nouveautés insolites de la Coupe du monde 2014 au Brésil.
Prière de laisser vos caxirolas dehors !
La vuvuzela a trouvé son sucesseur. Après les célèbres et bruyantes “cornes de brume” sud-africaines aux bourdonnements incessants, le Brésil présente les caxirolas. Le Mondial était censé offrir leur heure de gloire à ces sortes de maracas en plastique, mais rien ne s’est passé comme prévu. Utilisées comme projectiles lors d’un match de championnat brésilien en 2013, elles ont été tout bonnement et simplement interdites de stades par les autorités auriverde.
Ci-dessous une démonstration en musique :
Messieurs, attention à vos crampons !
Une bombe aérosol pour les arbitres ! Finies les palabres interminables pour placer le mur à 9m15 lors des coup-francs. A l’occasion de la Coupe du monde 2014, la FIFA laisse la possibilité aux arbitres d’utiliser un spray déposant une marque temporaire sur le terrain, qui disparaît au bout de quelques minutes. Cette pratique est adoptée depuis belle lurette par les arbitres sud-américains. Elle peut en revanche surprendre les joueurs qui n’y sont pas habitués. A l’image de l’international français Mathieu Valbuena, lors d’un match amical contre l’Uruguay, il y un an, qui a eu peur pour ses chaussures !
Une poignée pour la paix
Finies les fins de matches empreintes de tensions. Au Brésil, chaque partie se terminera par une poignée de mains dans le rond central, échangées entre l'arbitre et les capitaines des deux équipes. Histoire de dissiper tout malentendu (ou pas, comme l'a prouvé le match d'ouverture).
Joliment baptisée une “poignée de main pour la paix”, cette initiative, qui vise à rapprocher les peuples, a été lancée conjointement par la FIFA et le Centre Nobel pour la Paix. “Un axe essentiel de la mission de la FIFA est de bâtir un meilleur avenir pour tous en s’appuyant sur l’incroyable puissance et l’extraordinaire popularité du football“, explique Sepp Blatter, le président de l'instance dirigeante du ballon rond.