Écarté des terrains depuis mai à cause d'une rupture du tendon d’Achille, Ahmed Kantari garde le sourire même si cette blessure est intervenu au moment où le défenseur était titulaire tant en club qu'en sélection. “J'ai été coupé dans mon élan. C'était une période importante pour l'équipe. Le maintien n'était pas acquis, et j'avais des échéances internationales avec le Maroc, et notamment contre l'Algérie. C'était le match de l'année, a expliqué le Brestois à Ouest France. C'est difficile parce qu'on aimerait être avec le groupe, vivre avec lui. À l'écart, on a l'impression de tourner en rond. Mais le plus dur, c'est le jour du match. On a envie d'être sur le terrain, de courir, de sauter, de vivre le match… Il ne faut pas être tenté d'aller trop vite dans la rééducation. On est vite rattrapé par la nature.“
Brest: Kantari veut revenir
