Les 1ers mots de Bennacer après plus de 100 jours de blessure

Publié le par Prudence Ahanogbe

L’international algérien Ismaël Bennacer a fait part de sa réaction après son retour à la compétition avec l’AC Milan.

Ce dimanche à San Siro, le milieu algérien Ismaël Bennacer (27 ans) a effectué son retour officiel sur le pré après 116 jours passés à l’infirmerie à cause d’une perturbation du muscle du mollet. Remplaçant au coup d’envoi, il a été sorti du banc à la mi-temps du match face à la Roma (1-1), comptant pour la 18e journée de championnat d'Italie.

Le relayeur de l’équipe d’Algérie (50 sélections, 2 buts, plus appelé depuis ladite blessure) a montré de bonnes sensations, touchant 48 fois le ballon, délivrant une passe clé et tirant au but à deux reprises, entre autres. De bon augure pour la suite des événements, mais aussi et surtout pour les Verts qui espèrent pouvoir compter sur lui pour la reprise des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 en mars 2025.

“Maintenant, je suis là” 

De passage en zone mixte pour la première fois depuis plusieurs mois, le natif d’Arles a d’abord livré son analyse de la rencontre.

“C'était le match que nous attendions, contre une équipe difficile à affronter. Le match a été plus ou moins équilibré. Nous aurions pu prendre l'avantage, tout comme eux. Nous ne nous contenterons pas d'un match nul. Nous allons aller de l'avant.”

Puis d’annoncer la couleur sur ses objectifs personnels à court terme :

“J'ai beaucoup travaillé ces derniers mois pour revenir en forme le plus vite possible. Maintenant, je suis là. Je vais aller montrer mes qualités, comme je l'ai toujours fait, et aider le groupe dans la mesure de mes possibilités.”

La dernière apparition de l’ancien d’Arsenal remontait au 5 septembre avec la sélection algérienne, et la première journée des qualifications à la CAN 2025 (victoire 2-0).

Les 1ers mots de Bennacer après plus de 100 jours de blessure

Prudence Ahanogbe

Couteau suisse de la rédaction footballistique, je perce mon trou grâce au dépassement de soi. Sur mon versant gauche, un don indescriptible pour l’écriture, un peu comme Messi, et sur le versant droit, beaucoup de travail, à la Cristiano Ronaldo.