C'était presque fait: Michaël Chrétien devait quitter Nancy et rejoindre Bursaspor. Les deux clubs étaient d'accord mais le défenseur marocain a décidé de faire volte-face. Une attitude qui a le don d'agacer le président de l'ASNL. “Les joueurs ont des droits, mais aussi des devoirs vis-à-vis d’un employeur qui les fait vivre et qui les a formés. Ils ont fait un choix – ils voulaient partir -, on l’a respecté et on est passé à autre chose. Ils ne font plus partie de notre effectif depuis 24 heures et on travaille à leur remplacement…“, s'est emporté Jacques Rousselot dans l’Est Républicain
Nancy: Chrétien agace
