Portée par Mayele et ses Marocains, la surprise Pyramids sacrée championne d’Afrique !

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Portée par Mayele et ses Marocains, la surprise Pyramids sacrée championne d’Afrique !
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Emmené par son attaquant vedette Fiston Mayele et ses Marocains, Pyramids FC a inscrit son nom pour la première fois au palmarès des vainqueurs de la Ligue des champions de la CAF (Confédération africaine de football).

Une semaine après avoir arraché le résultat nul (1-1) à Pretoria, Pyramids a remporté la victoire 2-1 ce dimanche au stade du 30 juin, au Caire, face aux Mamelodi Sundowns en finale retour de la Ligue des champions CAF. Les Égyptiens s’imposent donc 3-2 sur l’ensemble des rencontres et soulèvent la coupe pour la première fois de leur jeune histoire.

Mayele lance Pyramids

Maladroit au match aller, Fiston Mayele se rachetait en mettant les Héritiers des Pharaons sur les bons rails à la 23e minute de jeu. L’attaquant congolais interceptait un mauvais dégagement adverse pour reprendre le ballon hors de portée de Ronwen Williams.

Les Marocains apportent leur pierre à l'édifice

En seconde période, Ahmed Samy trouvait la faille à son tour en reprenant de la tête au second poteau un coup franc brossé depuis la droite par le latéral droit Mohamed Chibi (56e), deuxième Marocain à apporter sa pierre à l’édifice après le but au buzzer du milieu Walid El Karti à l’aller.

Les Mamelodi réduisaient la marge à la 75e par l’intermédiaire d’Iqraam Rayners. Ce qui valait à Pyramids de connaître un dernier quart d’heure sous pression, sachant que le second but sud-africain les aurait privés du titre en vertu de la règle du but à l’extérieur.

Mais Pyramids tenait bon et s’imposait donc au bout du suspense. Les Mamelodi patienteront encore pour soulever un deuxième trophée après avoir goûté à la gloire en 2016.

Portée par Mayele et ses Marocains, la surprise Pyramids sacrée championne d’Afrique !

Prudence Ahanogbe

Couteau suisse de la rédaction footballistique, je perce mon trou grâce au dépassement de soi. Sur mon versant gauche, un don indescriptible pour l’écriture, un peu comme Messi, et sur le versant droit, beaucoup de travail, à la Cristiano Ronaldo.

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