Lundi, la Fédération ivoirienne (FIF) a jeté son dévolu sur Michel Dussuyer. L’ancien sélectionneur de la Guinée a été préféré à Frédéric Antonetti, l'autre finaliste, pour succéder à Hervé Renard sur le banc des Eléphants. Si officiellement “l’expérience africaine de Dussuyer a primé…“, comme l’a affirmé Augustin Sidy Diallo, le président de la FIF, d’autres paramètres plus inattendus sont également entrés en ligne de compte. “Au moins dix des candidats auraient pu prétendre raisonnablement à diriger cette équipe. La différence se fait sur des détails“, note Pierre Gondo, le porte-parole de la FIF, sur le plateau de la RTI. “En dehors des qualités et du palmarès de Michel Dussuyer, ce qui a fait la différence, est la clause de résidence qui a été l’un des points sur lesquels on n’était pas tombé d’accord avec Antonetti. Nous avions pourtant indiqué cette condition dans le dossier“, s’étonne le représentant de la FIF. Etrange en effet que l'instance ait sélectionné en ’finale’ un candidat qui ne respectait pas ce critère fondamental.
Côte d’Ivoire : Pourquoi la FIF a préféré Dussuyer à Antonetti
