Le vibrant hommage d’un champion du monde 98 à Mohamed Salah

Publié le par Prudence Ahanogbe

Après Arsène Wenger, c’est le tour d’un champion du monde 1998 de déclarer sa flamme à la star égyptienne Mohamed Salah.

Pas plus tard que cette semaine, Arsène Wenger, l’ex-entraîneur emblématique d’Arsenal désignait Mo Salah comme son chouchou en dehors des Gunners. “Mon joueur préféré (à regarder) en ce moment, je pense que c'est un gars comme Salah parce que malgré la longévité de sa carrière, il est toujours au sommet”, encensait le directeur du développement du football mondial à la FIFA.

“J'aime tout chez Mo Salah”

Champion du monde avec la France en 1998, Emmanuel Petit a ajouté aux dithyrambes lors d’un passage sur les ondes de Talksport. Ancien pensionnaire et aficionado éternel du championnat d’Angleterre, le consultant militait pour la prolongation du buteur de Liverpool, sachant que son contrat expire le 30 juin prochain.

“Pour être honnête avec vous, j'aime tout chez Mo Salah. J'aime le joueur, j'aime l'homme, j'aime l'image. Il n'y a rien que je n'aime pas chez lui, et je suis très très difficile à plaire. J'aurais adoré être son coéquipier. (…) Je ne sais pas ce qui lui arrivera à la fin de la saison, mais j'espère qu'il restera en Premier League parce que c'est pour cela que je veux regarder un match de football à la télévision, c'est pour cela que je veux aller au stade. Pour moi, ce gars est une joie pour tout ce qu'il a fait jusqu'à présent et il fait partie des meilleurs de la Premier League.”

Il y a quelques semaines, le capitaine des Pharaons d'Egypte (101 capes, 58 buts) avait signifié que les discussions avec les Reds patinent. Sa priorité serait de rempiler. À défaut, il pourrait être tenté par l’Arabie saoudite qui serait prête à lui offrir le plus gros contrat de sa carrière.

Le vibrant hommage d’un champion du monde 98 à Mohamed Salah

Prudence Ahanogbe

Couteau suisse de la rédaction footballistique, je perce mon trou grâce au dépassement de soi. Sur mon versant gauche, un don indescriptible pour l’écriture, un peu comme Messi, et sur le versant droit, beaucoup de travail, à la Cristiano Ronaldo.