Les 3 raisons pour lesquelles l’Algérie espérait Maghnes Akliouche

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Au terme d’un long feuilleton, Maghnes Akliouche a opté pour l’équipe de France au grand dam de l’Algérie. Une déception pour les Fennecs, qui avaient de bonnes raisons de croire en une arrivée de la pépite de l’AS Monaco.

Fin du suspense. Longtemps attendu en Algérie, Maghnes Akliouche a fait le choix de l’équipe de France. Le prometteur offensif de l’AS Monaco (23 ans) a été sélectionné par Didier Deschamps en prévision de la rentrée internationale des Bleus. 

Une décision qui n’a pas manqué de faire réagir du côté de la presse et des supporters algériens, évidemment déçus. Car, chez les champions d’Afrique 2019, plusieurs signaux incitaient à l’optimisme. 

Le coeur d'Akliouche semblait pencher pour l'Algérie

En janvier, La Gazette du Fennec affirmait en effet que le médaillé d’argent avec les Bleus Olympiques avait donné sa préférence aux Fennecs, en citant un proche de son entourage. Mais qu’il s’accordait du temps avant de se prononcer officiellement. Un choix dicté par le cœur face à la pression exercée par les médias français, mais qui ne s'est pas confirmé…

L’exemple Ben Seghir avec le Maroc

La même source expliquait aussi que le natif de Tremblay-en-France aurait été inspiré par son coéquipier monégasque Eliesse Ben Seghir, de trois ans son cadet, ayant rejoint le Maroc l’an dernier. Ceci, sans que cela nuise à sa visibilité. Akliouche aura finalement choisi une autre voie.

Il s’éloignait du PSG…

Enfin, le fait que le concerné se soit éloigné du PSG durant ce mercato avait renforcé la probabilité de voir Akliouche opter pour l'Algérie. En effet, il se dit que le club parisien était opposé au choix de l’Algérie, de peur que cela ne ternisse sa cote sur le marché en comparaison à l'équipe de France. Finalement, Akliouche aura choisi les Bleus même sans la pression supposée du PSG…

Les 3 raisons pour lesquelles l’Algérie espérait Maghnes Akliouche

Prudence Ahanogbe

Couteau suisse de la rédaction footballistique, je perce mon trou grâce au dépassement de soi. Sur mon versant gauche, un don indescriptible pour l’écriture, un peu comme Messi, et sur le versant droit, beaucoup de travail, à la Cristiano Ronaldo.

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