Manchester United prêt à casser sa tirelire pour Aït-Nouri

Publié le par Prudence Ahanogbe

L’international algérien Rayan Aït-Nouri plairait énormément au nouveau coach de Manchester United, Ruben Amorim.

Alors qu’il marche sur l’eau depuis quelques semaines à Wolverhampton, Rayan Aït-Nouri (3 buts, 1 passe décisive sur ses 5 derniers matches avec les Wolves) suscite la convoitise en Angleterre. Liverpool lorgnerait le latéral de 23 ans pour remplacer à terme le vieillissant Andrew Robertson (30 ans). Dans le même temps, Manchester United en aurait également fait sa priorité, informe GiveMeSport.

Le club mancunien, qui aurait bouclé le deal pour la venue d’un nouvel entraîneur, souhaiterait faire de l’international algérien (13 sélections) la première recrue de l’ère Ruben Amorim. Le technicien portugais voudrait en effet installer l’ancien Angevin sur le côté gauche de sa défense. D’autant plus que Luke Shaw est indisponible sur blessure.

Les Wolves réclament 70 M€ pour Aït-Nouri

Sous contrat jusqu’en 2026, le principal concerné ne serait pas insensible à l’intérêt des deux cadors de Premier League. Son ambition étant de rejoindre un prétendant régulier au titre en PL. Conscients de son attrait et de la difficulté à le retenir en cas d’assaut de leurs concurrents, vu leur position au classement notamment (avant-derniers de PL), les Wolves entendent vendre leur défenseur au prix fort.

Toujours selon GiveMeSport, les pensionnaires du Molineux, ont en effet fixé le prix de leur star à 60 millions de Livres, soit environ 71 millions d’euros. À titre de comparaison, c’est le double de sa valeur marchande sur Transfermarkt. Une somme dans les cordes de MU et de son nouveau propriétaire, le milliardaire Sir Jim Ratcliffe.

Manchester United prêt à casser sa tirelire pour Aït-Nouri

Prudence Ahanogbe

Couteau suisse de la rédaction footballistique, je perce mon trou grâce au dépassement de soi. Sur mon versant gauche, un don indescriptible pour l’écriture, un peu comme Messi, et sur le versant droit, beaucoup de travail, à la Cristiano Ronaldo.