Sénégal : Matar Sarr – : “on se voit à la CAN”

Publié le par Prudence Ahanogbe

L’international sénégalais Pape Matar Sarr a donné des nouvelles de son état après sa sortie inquiétante ce dimanche avec Tottenham.

Ce dimanche, Pape Matar Sarr est passé par toutes les émotions au Tottenham Hotspur Stadium. Après avoir précocement ouvert le score pour les Spurs contre Bournemouth (9e), à l’occasion du dernier match de l’année 2023 comptant pour la 20e journée de Premier League, le milieu est sorti en larmes à la 32e pour cause de blessure. L’image était aussi poignante que la potentiel forfait de l’ancien du FC Metz pour la CAN 2023, laquelle démarre dans moins de deux semaines (13 janvier-11 février 2024), faisait trembler les champions d’Afrique, en quête d’un doublé consécutif inédit.

« Plus de peur que de mal »

Mais à l’arrivée, cette inquiétude n’aura duré que quelques heures. Car quelques temps après le coup de sifflet final à Londres, le droitier titularisé lors des quatre dernières sorties des Lions du Sénégal a rassuré sur son état. Sur son compte X (anciennement Twitter) officiel, PMS a en effet posté une photo avec le maillot de son club, et avec en légende : « Plus de peur que de mal, on se voit à la CAN ! » Une publication reprise trois petites minutes plus tard par la sélection, impatiente de retrouver son tonique milieu relayeur pour le stage pré-CAN ayant débuté ce dimanche.

Pour rappel, la bande au sélectionneur Aliou Cissé disputera un dernier match test le 8 janvier prochain face au Niger avant de s’envoler le lendemain pour Yamoussoukro (Côte d’Ivoire). Elle jouera son premier match de la CAN contre la Gambie le 15 janvier dans le groupe de la mort, celui dans lequel on retrouve également le Cameroun et la Guinée.

Sénégal : Matar Sarr – : “on se voit à la CAN”

Prudence Ahanogbe

Couteau suisse de la rédaction footballistique, je perce mon trou grâce au dépassement de soi. Sur mon versant gauche, un don indescriptible pour l’écriture, un peu comme Messi, et sur le versant droit, beaucoup de travail, à la Cristiano Ronaldo.