Revenu en équipe d’Algérie après plusieurs mois d’absence, Farès Chaïbi a effectué une mise au point sur sa relation avec le sélectionneur Vladimir Petkovic.
Alors qu’il n’était plus appelé depuis le premier rassemblement de l’ère Petkovic, fin mars dernier, Farès Chaïbi a signé son retour durant ce mois de novembre, à l’occasion de la dernière trêve internationale de l’année. Laissé sur le banc lors du déplacement compliqué à Malabo en Guinée équatoriale (0-0) jeudi dernier, le milieu de Francfort a été titularisé dimanche, devant le public algérien, pour la victoire 5-1 face au Liberia, comptant pour la 6e et dernière journée des éliminatoires de la CAN 2025.
De passage en zone mixte après le match, l’ancien Toulousain n’a pas boudé son plaisir. « Je suis super content d’être revenu en équipe nationale. L’équipe nationale, c’est quelque chose qui me tient à cœur », a-t-il répondu aux journalistes venus à sa rencontre. Il en a profité pour démentir les rumeurs faisant état d’une supposée brouille avec Petkovic pour justifier sa non-convocation lors des trois précédents rassemblements.
« Zéro clash avec l’entraîneur »
« Zéro clash avec l’entraîneur. J’ai eu une bonne éducation. Je suis un joueur qui ne pose aucun problème dans une groupe, vous pouvez demander à qui vous voulez. Il n’y a aucun clash, je n’en ferai jamais dans ma carrière. Aucun problème avec le coach », a affirmé et juré le natif de Lyon, attribuant ses précédentes absences au choix du sélectionneur.
« C’était les choix du coach. Le plus important c’est que je suis de retour et j’ai joué », a-t-il conclu, tout en espérant être rappelé lors de la prochaine trêve, en mars 2025. Les Verts disputeront alors les 5e et 6e des qualifications à la Coupe du monde 2026 contre le Botswana et le Mozambique.