Alors que l’organisation de la CAN 2025 au Maroc est globalement encensée, l’international congolais Cédric Bakambu a mis un bémol ce mercredi en poussant un coup de gueule au sujet d’une mésaventure personnelle.
Vainqueur du Botswana (3-0) mardi, la RD Congo a terminé deuxième du groupe D et affrontera l’Algérie en 8es de finale de la CAN 2025 le 6 janvier prochain. Autant dire que les Léopards comptent bien poursuivre leur séjour au Maroc. Et ce dans les meilleures conditions, ce qui n’est pas possible actuellement pour Cédric Bakambu. Sur X, l’attaquant du Bétis Séville a tapé du poing sur la table en déplorant la perte de ses bagages à l’aéroport et les promesses répétées non tenues par les autorités de les lui restituer depuis une dizaine de jours.
Où sont passées les valises de Cédric Bakambu ?
“Mes valises censées être arrivées le 19 décembre à l’aéroport de Casablanca restent à ce jour toujours introuvables. Les autorités m’ont confirmé 3 fois avoir localisé mes bagages, hélas toujours rien. Je me retrouve à devoir disputer la CAN démuni de tout effet personnel“, a grondé la star des Léopards. En publiant ce message public, Bakambu espère certainement secouer les autorités et récupérer ses valises au plus vite.
🚨🤦🏾♂️ Mes valises censé être arrivé le 19 Décembre à l’aéroport de Casablanca restent à ce jour toujours introuvables. Les autorités m’ont confirmé 3 fois avoir localisé mes bagages hélas toujours rien. Je me retrouve à devoir disputer la #AFCON25 démuni de tout effet personnel. pic.twitter.com/6v66vnxi9s
— Cédric Bakambu (@Bakambu17) December 31, 2025
Bakambu, Broos… De rares problèmes organisationnels pointés du doigt à la CAN 2025
Surveillé de près en raison de son statut de co-organisateur de la Coupe du monde 2030 avec l’Espagne et le Portugal, le Maroc sait qu’il n’a pas le droit à l’erreur sur cette CAN et fait très attention à son image. Globalement, la phase de groupes du tournoi aura été une réussite en termes d’organisation, malgré quelques polémiques nées autour de l’entrée gratuite dans certains matchs après le coup d’envoi, notamment à Agadir. Cette pratique a entraîné des problèmes de sécurité soulevés par le sélectionneur de l’Afrique du Sud, Hugo Broos, et les autorités ont décidé d’y mettre fin.

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